Strasbourg : recrutement de volontaires pour une étude air et mobilité

Strasbourg : ATMO Grand Est et ses partenaires recrutent 25 volontaires pour une étude citoyenne inédite.

ATMO Grand Est et l’Observatoire régional de la Santé (ORS) lancent la première phase de l’étude COMP’Air sur le territoire de l’Eurométropole de Strasbourg : recrutement de 25 volontaires pour une expérimentation à la rentrée 2024 !

L’objectif ? Sensibiliser aux enjeux de qualité de l’air lors des déplacements, à travers l’utilisation de microcapteurs qui analysent les polluants atmosphériques qui nous entourent. 5 minutes suffisent aux volontaires pour remplir le questionnaire de sélection.

Remplir le formulaire de sélection

Découvrir le projet COMP'Air

Marche, tram, vélo ou voiture ?

COMP’Air s’intéresse à tous les moyens que les habitants de l'Eurométropole utilisent pour se déplacer quotidiennement. Les 25 volontaires qui seront recrutés via le formulaire* accessible en ligne recevront un microcapteur durant les 3 semaines de l’expérimentation prévue entre le 13 septembre et le 04
octobre 2024. Utiliser ce type de technologie, c’est déjà le cas pour de nombreux citoyens qui possèdent des montres connectées. Dans le cadre de l’étude COMP’Air, ce n’est pas notre état de forme qui intéresse les microcapteurs, mais bien la qualité de l’air que nous respirons.

De citoyens à sentinelles de la qualité de l'air

Le microcapteur sera relié au smartphone du volontaire à l’aide d’une application dont les données sont hébergées en Europe. L’intérêt sera de réaliser plusieurs mesures de la qualité de l’air en variant la durée des trajets et les modes de transport utilisés. Grâce au traçage GPS, COMP’Air permettra de visualiser les niveaux en particules atmosphériques dans l'agglomération de la capitale alsacienne.

Texte

« Le projet COMP’AIR s’inscrit dans la politique de l’Eurométropole de Strasbourg de sensibilisation de la population aux enjeux de la pollution de l’air et à ses effets sur la santé, en lien notamment avec les mobilités. Cette expérimentation s’inscrit parfaitement dans le dispositif conséquent d’aides déployées par la collectivité, en faveur en particulier de l’usage des transports en commun et des mobilités douces. »

Françoise Schaetzel Vice-présidente de l’Eurométropole de Strasbourg en charge du suivi de la qualité de l’air

*Les informations recueillies dans ce questionnaire seront traitées par ATMO Grand Est et l’ORS Grand Est conformément au Règlement européen pour la protection des données (RGPD). Les informations recueillies par ce questionnaire sont enregistrées dans un fichier informatisé et seront détruites 6 mois après publication des résultats de l'étude.