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Publié le 6 janvier 2023
Introduction
Etude de faisabilité de la mise en œuvre d’une méthode de biosurveillance suivant la norme NF EN 16413
La biosurveillance de la qualité de l’air a recours aux organismes vivants pour évaluer la mesure de leur exposition aux contaminants atmosphériques et/ou mesurer des effets biologiques induits sur ces organismes. La norme NF EN 16413 (2014) propose une méthode d’évaluation de la diversité des lichens épiphytes et offre un cadre de référence permettant d’évaluer l’impact des activités anthropiques pour estimer les effets de la pollution atmosphérique.
Les lichens ou champignons lichénisés, étant donné leurs particularités anatomiques, sont particulièrement bien adaptés pour l’étude des polluants atmosphériques aussi bien gazeux que particulaires.
Dans le cadre de son Programme Régional de Surveillance de la Qualité de l’Air (actions 1, 2 et 28 du Programme Régional de Surveillance de la Qualité de l’Air d’ATMO Grand Est) et conformément à la stratégie de développement de la biosurveillance de la qualité de l’air (SURV-EN-079), l’année 2018 a été consacrée à réaliser une étude de faisabilité de l’évaluation de la qualité de l’air par biosurveillance sur les écosystèmes en utilisant la double fonction des lichens comme bioindicateurs de la qualité de l’air et bioindicateurs de la biodiversité.
La zone d’étude regroupe cinq communes de la plaine d’Alsace (Ungersheim, Pulversheim, Feldkirch, Bollwiller et Raedersheim). Ces communes sont situées dans le département du Haut-Rhin au nord-ouest de l’agglomération Mulhousienne et font partie du bassin potassique où l’exploitation de la potasse a été prépondérante durant plusieurs décennies.
La biosurveillance de la qualité de l’air a recours aux organismes vivants pour évaluer la mesure de leur exposition aux contaminants atmosphériques et/ou mesurer des effets biologiques induits sur ces organismes. La norme NF EN 16413 (2014) propose une méthode d’évaluation de la diversité des lichens épiphytes et offre un cadre de référence permettant d’évaluer l’impact des activités anthropiques pour estimer les effets de la pollution atmosphérique.
Les lichens ou champignons lichénisés, étant donné leurs particularités anatomiques, sont particulièrement bien adaptés pour l’étude des polluants atmosphériques aussi bien gazeux que particulaires.
Dans le cadre de son Programme Régional de Surveillance de la Qualité de l’Air (actions 1, 2 et 28 du Programme Régional de Surveillance de la Qualité de l’Air d’ATMO Grand Est) et conformément à la stratégie de développement de la biosurveillance de la qualité de l’air (SURV-EN-079), l’année 2018 a été consacrée à réaliser une étude de faisabilité de l’évaluation de la qualité de l’air par biosurveillance sur les écosystèmes en utilisant la double fonction des lichens comme bioindicateurs de la qualité de l’air et bioindicateurs de la biodiversité.
La zone d’étude regroupe cinq communes de la plaine d’Alsace (Ungersheim, Pulversheim, Feldkirch, Bollwiller et Raedersheim). Ces communes sont situées dans le département du Haut-Rhin au nord-ouest de l’agglomération Mulhousienne et font partie du bassin potassique où l’exploitation de la potasse a été prépondérante durant plusieurs décennies.
Contenu
Evaluation_lichens_epiphytes_Haut-Rhin_2018.pdf
pdf
- 6 janvier 2023 - 7.24 MB
Titre
Evaluation de la diversité des lichens épiphytes sur le territoire de cinq communes de la plaine d'Alsace en 2018
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