Pour le mercredi 5 février, l'indice de la qualité de l'air sera moyen sur la majorité du Grand Est, et dégradé voire mauvais dans le Bas-Rhin. Les particules fines PM2,5 seront responsables de cet indice. Ces dernières se maintiendront localement à des teneurs élevées, en lien avec des conditions atmosphériques qui favorisent leur accumulation depuis plusieurs jours (absence de pluie et de vent).
Cet indice est un indicateur journalier qualificatif de la qualité de l’air calculé à l'échelle de chaque commune de la région ATMO Grand Est. L'indice se décline en 6 qualificatifs définis selon différentes classes pour cinq polluants : « bon », « moyen », « dégradé », « mauvais », « très mauvais », « extrêmement mauvais ». Il intègre les polluants réglementés que l'on rencontre au quotidien : les particules (PM10 et PM2.5), le dioxyde d’azote (NO2), l’ozone (O3) et le dioxyde de soufre (SO2). Les modalités de calcul de cet indice sont précisées dans l’arrêté du 10 juillet 2020 relatif à l'indice de la qualité de l'air ambiant.
L'indice est une représentation simplifiée de la qualité de l'air quotidienne en situation « de fond », c’est-à-dire celle à laquelle on est le plus souvent exposé, éloigné des sources spécifiques de pollution comme les axes de trafic routier, par exemple. Cet indice est calculé quotidiennement par ATMO Grand Est, à partir de modélisation intégrant de nombreuses données d'entrée dont des prévisions météorologiques, des données régionales d'inventaire des émissions des polluants atmosphériques et des données issues de plateformes externes de prévision de la qualité de l'air comme PREV'AIR ou encore COPERNICUS.
Certains types de pollution ne sont pas prévisibles ou ne peuvent pas être visualisées à une échelle régionale (ex : incendies, incidents industriels, odeurs, trafic routier...).
Mode d'élaboration de l'indice Atmo
Cet indice est un indicateur journalier qualificatif de la qualité de l’air calculé à l'échelle de chaque commune de la région ATMO Grand Est. L'indice se décline en 6 qualificatifs définis selon différentes classes pour cinq polluants : « bon », « moyen », « dégradé », « mauvais », « très mauvais », « extrêmement mauvais ». Il intègre les polluants réglementés que l'on rencontre au quotidien : les particules (PM10 et PM2.5), le dioxyde d’azote (NO2), l’ozone (O3) et le dioxyde de soufre (SO2). Les modalités de calcul de cet indice sont précisées dans l’arrêté du 10 juillet 2020 relatif à l'indice de la qualité de l'air ambiant.
L'indice est une représentation simplifiée de la qualité de l'air quotidienne en situation « de fond », c’est-à-dire celle à laquelle on est le plus souvent exposé, éloigné des sources spécifiques de pollution comme les axes de trafic routier, par exemple. Cet indice est calculé quotidiennement par ATMO Grand Est, à partir de modélisation intégrant de nombreuses données d'entrée dont des prévisions météorologiques, des données régionales d'inventaire des émissions des polluants atmosphériques et des données issues de plateformes externes de prévision de la qualité de l'air comme PREV'AIR ou encore COPERNICUS.
Certains types de pollution ne sont pas prévisibles ou ne peuvent pas être visualisées à une échelle régionale (ex : incendies, incidents industriels, odeurs, trafic routier...).
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